Archives par mot-clé : Anne-Marie Paul

Anne-Marie Paul : el encuentro bailado : efectos de la simbolización de un taller terapéutico

La descripción de un grupo terapéutico que utiliza como mediación la danza y la escritura, en el hospital del día, muestra como los rastros mnésicos no simbolizados emergen y se trasforman a través del trabajo de asociación grupal, corporal y verbal. Así, son creadas nuevas representaciones del cuerpo y de los orígenes los cuales son vectores de subjetivación.

Adolescence, 2014, 32, 2, 389-400.

Anne-Marie Paul:the danced encounter: symbolization effects of a therapeutic workshop

The description of a therapy group using the mediating forms of dance and writing in a day-hospital shows how unsymbolized memory traces emerge and are transformed through group associations, both corporal and verbal. Thus new representations of the body and its origins – vectors of subjectivation – are created.

Adolescence, 2014, 32, 2, 389-400.

Anne-Marie Paul : la rencontre dansée : effets de symbolisation d’un atelier thérapeutique

La description d’un groupe thérapeutique à médiation danse et écriture, en hôpital de jour, montre comment des traces mnésiques non symbolisées émergent et se transforment à travers l’associativité groupale, corporelle et verbale. Sont ainsi créées de nouvelles représentations du corps et des origines, vectrices de subjectivation.

Adolescence, 2014, 32, 2, 389-400.

Anne-Marie Paul : Le secret au cœur de l’adolescence dans l’œuvre d’annie ernaux

« Écrivez la lettre que vous n’avez jamais écrite. » Telle est la proposition éditoriale lancée en 2011 par la collection Les Affranchis à plusieurs écrivains majeurs. « Quand tout a été dit sans qu’il soit possible de tourner la page, écrire à l’autre devient la seule issue », suggère l’éditrice… ou entrer en psychanalyse, pourrait-on ajouter. Il s’agit donc de « s’affranchir d’une vieille histoire ». Annie Ernaux répond la première à cette invitation avec L’autre fille, lettre adressée à la sœur qu’elle n’a pas connue, décédée avant sa naissance, et y met en lumière une des « zones d’ombre » de sa vie qu’une œuvre entièrement autobiographique nous a depuis plus de trente ans rendu familière.

Adolescence, 2012, T. 30, n°2, pp. 463-473.