Collection Penser son vieillissement

Collection « Penser son vieillissement »
dirigée par Philippe Gutton
In Press : www.inpress.fr

La relation d’aide
Sophie de Mijolla-Mellor et Christelle Evita

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Conjoint, fille ou fils adultes… comment la responsabilité « d’aidant » est-elle vécue ? Une interrogation à la fois clinique et philosophique.

À l’origine de ce livre, il y a une expérience analogue, avec des protagonistes différents, mais dans des conditions finalement bien semblables.

Sophie de Mijolla-Mellor y évoque le vécu d’une relation de couple lorsque la préoccupation de l’aide nécessaire à l’autre est venue se surimposer et exiger un nouvel engagement. Christelle Evita nous confie ce qu’on n’ose pas se dire, sur les passions et les souffrances de l’adulte qui n’a pas cessé d’être un enfant lorsqu’il doit décider de mettre sa mère en EHPAD. Situations partagées dans des associations d’aidants, mais aussi au détour d’une rencontre et d’échanges sur cet entre-deux qui n’est plus la relation telle qu’elle a été, mais qui s’est approfondie en se resserrant sur l’essentiel humain du lien, et qui ouvre une interrogation nouvelle sur l’autre et sur soi-même.

LES AUTRICES : Sophie de Mijolla-Mellor est philosophe et psychanalyste. Elle est professeur émérite en psychopathologie et psychanalyse à l’Université Paris 7-Denis –Diderot. Elle dirige la revue Topique depuis 1990 et elle est également présidente de l’Association Internationale Interactions de la Psychanalyse (A2IP).

Au travers du théâtre mais encore du roman documentaire, Christelle Evita écrit sur des sujets sociétaux variés tels que les discriminations, le monde du travail ou encore les violences gynécologiques.

 

 Amour, amitié et spiritualité. Entre philosophie et psychanalyse : chassé-croisé, Marion Péruchon, avril 2022

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Loin de s’opposer, la philosophie et la psychanalyse s enrichissent mutuellement et se complètent souvent. Que nous disent-elles de concepts aussi universels que l’amitié, l’amour et la spiritualité ? La philosophie – moderne et contemporaine – qui s’abreuve à l’expérience subjective se rapproche de la théorie psychanalytique, fondée sur le sens, qui naît, s’élabore et évolue à partir du vécu, de la relation et de la clinique.

Tel est le point de départ de l’approche de Marion Péruchon. L’amitié n’est pas une, tout comme l’amour et la spiritualité. Il y a des amitiés, des amours et des spiritualités fort différentes les unes des autres. L’état amoureux, la passion et ses démons, l’amitié dans la vieillesse, le retour de la tendresse avec l’âge, la spiritualité et sa valeur palliative dans le vieillissement… autant de configurations dont il s’agit de saisir la dynamique.

Pour ce faire, l’auteur se centre essentiellement sur l’adulte et la personne vieillissante dont elle est spécialiste. Si son expérience clinique éclaire son analyse, elle recourt également à de nombreux témoignages puisés dans les œuvres littéraires.

L’auteur : Marion Péruchon a été maître de conférences en psychologie clinique et pathologique à l’Université René-Descartes, Paris V – Sorbonne. Elle est l’auteur de plusieurs ouvrages dont Création tardive (2019). Elle a participé en outre à de nombreux écrits collectifs de psychologie et de psychopathologie notamment dans le champ du vieillissement.

 

 Tissages d’histoires. Travail d’historisation et vieillissement sous la direction de Jean-Marc Talpin avec l’association ARAGP, avril 2022

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Comment penser les cliniques du vieillir à travers l’historicisation du sujet ? Comment le clinicien peut intégrer la notion d’histoire du patient dans sa pratique clinique ?

La prise en charge des personnes âgées, comme pour toute prise en charge, ne peut se faire sans tenir compte de l’histoire du sujet. Dans le contexte du vieillir, la trajectoire de vie, l’histoire de vie et son récit, ou même l’absence de récit prennent toute leur importance, et doivent être écoutées.

L’ouvrage aborde la clinique des sujets âgés en montrant la prépondérance de l’histoire, de sa présentation et son rôle dans cette clinique particulière :

– histoire personnelle, histoire de traumatismes ;
– histoire faite de petites histoires, répétitions d’histoires ;
– histoire soumise au vent des bouleversements, des catastrophes et des migrations, ou encore histoires impossibles.

Les auteurs développent de façon concrète le processus d’historicisation, et expliquent comment le clinicien peut intégrer la notion d’histoire dans sa pratique clinique, notamment lors du vieillissement.

Un ouvrage original, fait de situations cliniques variées, qui montre que l’historicisation représente un nouveau travail clinique particulièrement adapté à l’approche du vieillir.

Les auteurs : Véronique Blettery, Pierre Marie Charazac, Cécile du Chaylard, Françoise Davoine, Philippe Gutton, Catherine Haffner, Cécile Halbert, Aurélie Kalisz, Jean-Marc Talpin, Mireille Trouilloud.

 L’éphémère. L’art du château de sable, Gutton Ph. avec Marie-Christine Aubray, octobre 2021

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L’éphémère est ce léger insecte au vol lent qui envahit l’air de l’étang au soir, et dont la vie ne dure que l’espace d’un jour. L’éphémère est aussi un sentiment, une émotion, un affect. « Éphémérité », « passagèreté » : il dit que le plaisir est trop bref, qu’il « ne dure qu’un moment », que sa fin survient trop tôt.

Signifiant plus essentiel, il exprime la brièveté du sentiment continu d’exister. Puisque rien ne dure… comment penser l’irréversibilité du temps ? Comment concevoir l’inéluctabilité de notre fin ? Et comment l’extraordinaire créativité humaine compose-t-elle avec la menace à tout moment de rencontrer l’éphémérité de la vie ?

Cette créativité psychique, cette élaboration, dont une illustration inattendue – et pourtant privilégiée – pourrait être l’art du château de sable au bord de la mer, avant la marée… Partant de la réalité éphémère, Philippe Gutton ouvre avec ce livre une réflexion qui nous mène vers une pensée durable.

Les auteurs : Philippe Gutton est psychiatre, psychanalyste, professeur des universités (Sorbonne, Paris VII Denis Diderot), fondateur de la revue Adolescence, auteur de nombreux ouvrages, dont L’art de vieillir. Être soi… toujours (2018) et Et si vieillir libérait la tendresse… (2019).

Marie-Christine Aubray est psychologue clinicienne, psychanalyste, ex-directrice de la rédaction de la revue Adolescence.

 Clinique du vieillir, sous la direction de Jean-Marc Talpin avec l’association ARAGP, mai 2021

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Comment penser les cliniques du vieillir ? Face au vieillissement de la population, le besoin de prise en charge des âgés à domicile ou en institution connaît un développement constant.

Vieillissement normal ou pathologique… cet ouvrage aborde les multiples approches cliniques du vieillir. Pourquoi les cliniciens sont-ils intéressés par le travail avec « des vieux » ? N’est-il pas trop tard pour entamer une cure à cet âge ? Qu’en est-il du transfert et du contre-transfert ? Autant de questionnements auquel ce livre apporte des réponses.

Honte et idéal, sexualité, performance, perte et deuil, inachèvement et accomplissement, mais aussi questions du genre, de la différence culturelle et des migrations, des psychoses tardives et des démences… en explorant les thématiques centrales au cœur de cette clinique particulière, cet ouvrage constitue un outil indispensable pour les professionnels, pour envisager autrement l’accompagnement des personnes âgées.

En réunissant des textes précurseurs dans le domaine, il rend compte des nouvelles orientations et questionnements qui dessinent le paysage de la pensée gérontologique psychanalytique d’aujourd’hui et de demain.

Les auteurs : Michèle Grosclaude, Claude Balier, Danielle Quinodoz, Mireille Trouilloud, Simone Korff-Sausse, Marion Péruchon, Jacqueline Schaeffer, Benoît Verdon, Charlotte Herfay, Jocelyne Huguet Manoukian, Sébastien Richer, Florence Quartier.

Vieillir : un retour d’idéal, Gérard Bonnet, février 2020

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Qu’en est-il de nos idéaux à partir du moment où nous prenons de l’âge et que nos forces diminuent ? N’est-ce pas le début de leur effacement, la fin des illusions, comme le pensent les philosophes ou moralistes qui envisagent surtout l’idéal en tant que valeur ?

Le psychanalyste Gérard Bonnet se pose la question à partir de sa pratique et de travaux menés depuis de longues années, et il démontre ici l’inverse. Non seulement les idéaux ne s’effacent pas, mais ils reprennent puissance et vigueur avec l’âge et s’imposent d’autant plus que les forces physiques diminuent. C’est vrai en particulier pour les idéaux fondamentaux – la beauté, la tendresse, la vérité – qui deviennent avec le temps nos véritables raisons de vivre.

Ce livre en fait découvrir toutes les facettes, démontre comment ces idéaux facilitent peu à peu les échanges, les enrichissent, et deviennent communicatifs. Il explique aussi pourquoi ils sont sources de vie, voire de survie, mais aussi causes de souffrance ou de mort dès lors qu’on ne parvient pas à les vivre dans toutes leurs exigences.

L’auteur : Gérard Bonnet est psychanalyste (APF) et dirige l’EPCI (École de Propédeutique à la Connaissance de l’Inconscient) où il dispense un enseignement de psychanalyse à un large public. Il est directeur de la collection Psy pour tous chez In Press.

 Adolescents et vieux. Deux âges de la liberté ?, sous la direction de Philippe Gutton, Houari Maïdi, février 2020

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Sur le chemin de la vie, il est deux âges que tout semble opposer : jeune et vieux. Et si, contrairement aux apparences, ces deux âges étaient étroitement liés ?

Adolescence et vieillesse sont deux période de mutation capitale au cours de la vie. Deux temps de révolution interne qui accompagnent l’inéluctable transformation corporelle. Deux temps confrontés fondamentalement à la question du narcissisme. Deux temps également caractérisés par le « retour d’âge », soit un axe temporel marqué par un avant et un après, le passé et l’actuel.

Mais ce sont surtout deux périodes de créativité et de liberté de l’être-soi-même. Peut-être oui, à l’âge de la grande maturité, comme aussi à l’âge de l’adolescence, il peut « faire beau comme jamais », en savourant la beauté de « l’immense été des choses humaines », comme disait Aragon.

Les directeurs d’ouvrage :
Philippe Gutton, est psychiatre, psychanalyste, professeur des universités (Sorbonne, Paris VII Denis Diderot). Il est le fondateur en 1983 de la revue Adolescence qu’il dirigea pendant trente ans. Il était président d’OLD’UP.

Houari Maïdi, est psychanalyste et professeur des Universités de psychologie clinique et psychopathologie

Les auteurs : Paul-Laurent Assoun, André Brousselle, Odile Falque, Philippe Gutton, Marion Haza, Marc Kopelowicz Jean Lavoine, Caroline Lebrun, Houari Maïdi, Anne-Marie Royer, Guy Scharmann.

Création tardive. Un élan, une découverte, un dépassement, Marion Péruchon, septembre 2019

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La création tardive, dans l’âge avancé, existe bel et bien ! De nombreuses personnes vieillissantes continuent à créer ou créent pour la première fois. Quelle est la dynamique de cette création tardive ? A-t-elle des caractéristiques propres tant au niveau du style que du contenu ?

Marion Péruchon a rassemblé des témoignages de créateurs célèbres, peintres et écrivains, entrant dans le troisième âge, jusqu’au terme de leur vie. Si la force du témoignage est bien sûr de transmettre, elle contribue aussi à nous faire saisir les dynamiques historiques, sociales et psychologiques : les motivations, les conflits internes, les défenses…

Le vieillissement est rarement indemne de diminutions, de maux physiques ou psychiques, comme d’impact traumatiques. Comment parvenir à réduire ou à dépasser cette souffrance ? L’activité artistique est-elle vecteur de résilience dans la mesure où elle détient un pouvoir de transformation ? C’est ce pouvoir qui sera le fil rouge de cet ouvrage.

L’auteur : Marion Péruchon a été maître de conférences en psychologie clinique et pathologique à l’Université René-Descartes, Paris V – Sorbonne. Elle est l’auteur de plusieurs ouvrages dont Création tardive (2019). Elle a participé en outre à de nombreux écrits collectifs de psychologie et de psychopathologie notamment dans le champ du vieillissement.

 Et si vieillir libérait la tendresse…, Marie de Hennezel, Philippe Gutton, août 2019

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La tendresse est une force, une puissance qui invite à vire, à aimer et à désirer autrement. C’est un élan du cœur qui invite à vivre autrement, à aimer et désirer autrement.

En avançant sur le chemin de la vie, éclosent de nouvelles émotions. C’est à cette « éclosion » de la tendresse que s’attache ce livre : une découverte de l’avancée en âge en quelque sorte.

Quelle est la nature de cette embellie de l’âge ? Quel rôle joue-t-elle dans l’accomplissement d’une vie ? Les auteurs explorent le vécu d’hommes et de femmes engagés dans la deuxième partie de leur vie : la connivence douce d’André et Jeanne vivant ensemble depuis plus de 60 ans, la vitalité de Paul qui, a 85 ans a toujours « un cœur de jeune homme », ou encore ce jeune couple d’amoureux de 70 ans qui se sont rencontrés il y a quelques mois. Séduction, désir, sensualité, transformation du corps… Nous touchons au noyau de l’intime et peut-être, au secret de la longévité.

Au-delà des témoignages bouleversants, cet ouvrage invite aussi à prendre du recul. Partant du constat que la psychanalyse n’a jusqu’ici pas pris au sérieux le concept de tendresse – pourtant central dans le fonctionnement psychique – Philippe Gutton lui offre un nouvel éclairage., celui d’un affect « vrai » ou « pur ». Idéal de tendresse, espérance de réparation, construction du lien… autant de pistes qui ouvrent de nouvelles voies de réflexion.

Et si la tendresse nous portait de la naissance à la fin de notre vie… Un livre lumineux

Les auteurs : Marie de Hennezel est psychologue clinicienne, auteur de nombreux ouvrages. Elle est à l’écoute, depuis des années, d’hommes et de femmes confrontés aux enjeux du vieillissement.

Philippe Gutton est psychiatre, psychanalyste, professeur émérite des universités (Sorbonne, Paris VII Denis Diderot), fondateur de la revue Adolescence, auteur de nombreux ouvrages, il est président de l’association OLD’UP qui s’est fixé comme objectif de donner un sens à l’allongement de la vie.

 Longévité pour tous. Une chance pour chacun, une chance pour la société, sous la direction de Robert Moulias, Philippe Gutton, octobre 2018

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Tout part d’un constat : la population vit toujours plus longtemps. Et le discours dominant sur la longévité est celui de la crainte : celle de la dépendance, des coûts, de l’assistanat…

Or loin de ce tableau alarmiste, la longévité pour tous résulte d’un recul de l’âge de la vieillesse et de ses handicaps. Une chance pour chacun, une chance pour la société.

Une majorité croissante de la population âgée est lucide et valide. Pourtant, les obstacles à l’accès à la vie sociale sont nombreux : fragilité, isolement, solitude… favorisnt l’exclusion sociale des adultes âgés, quels que soient leurs souhaits, leurs compétences et les besoins de la société. Avec bientôt près de 30% de la population âgée de 60 ans et plus, l’exclusion sociale et le déni des droits seront demain incompatibles avec l’équilibre social. Le fonctionnement sociétal deviendra impossible sans une participation active de ces adultes âgés. Bénévolat, salariat, auto-entreprise, service civique… de nouvelles formes sont à inventer.

Cet ouvrage ouvre des voies de réflexion et d’action et prouve que l’âge peut être une chance pour les vieux comme pour la société.

Les directeurs d’ouvrage :
Robert Moulias est professeur honoraire IPMC, co-président du Comité scientifique d’OLD’UP

Philippe Gutton est professeur émérite des Universités, psychiatre, psychanalyste. Il est le fondateur en 1983 de la revue Adolescence qu’il dirigea pendant trente ans. Il est actuellement président d’OLD’UP.

Les auteurs : Claudine Attias-Donfut, Albert Evrard, Monique Ferry, Françoise Forette, Marie-Françoise Fuchs, Michèle Grosclaude, Serge Guérin, Philippe Gutton, Marie-Ève Joël, Robert Moulias, Sophie Moulias, Jean-Luc Noël, Monique Pelletier, Louis Ploton, Jean-Marie Robine, Astrid Sukelberg, Benoît Verdon.

 L’art de vieillir… Être soi toujours, Philippe Gutton avec la collaboration de Marie-Christine Aubray, mars 2018

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Comment « bien vieillir » ? On peut refuser, dénier le vieillissement. Jusqu’à un certain point cette méconnaissance est positive et permet de continuer à avancer. On peut aussi reconnaître les signes de l’âge et s’y adapter. Pris dans ce balancier, chacun, au cours de sa vie, ajuste et réajuste ces deux mouvements antagonistes. Chacun apprend à trouver une forme d’équilibre.

La quête de cet équilibre est le travail de toute une vie. Et l’on souffrira d’autant plus que les représentations du vieillissement sont violentes, avec le risque d’une rupture du sentiment d’exister : « Suis-je encore moi ? ».

Alors comment approcher l’art de vieillir : En étant soi… toujours. Et les chemins pour y accéder ? La création, la sublimation, la participation solidaire, l’idéal… et c’est tout la chapitre de la créativité humaine qui est ouvert.

Philippe Gutton, est psychiatre, psychanalyste, professeur émérite des Universités. Fondateur en 1983 de la revue Adolescence qu’il dirigea pendant trente ans, il est l’auteur de nombreux ouvrage sur l’adolescence.

 

Revue semestrielle de psychanalyse, psychopathologie et sciences humaines, indexée AERES au listing PsycINFO publiée avec le concours du Centre National du Livre et de l’Université de Paris Diderot Paris 7