En éste artículo teórico, la soledad és definida como un afecto que exprime la separación o el límite entre los objetos externos y los objetos internos suficientemente buenos para permitir la actividad de creación de un sujeto. Esta separación es justamente, crítica a la adolescencia. La desolación és el vacio interno del psiquísmo que no encuentra en su medio las bases para su creatividad. La desolación sería la base del proceso psicótico de modalidad depresiva, halucinatoria y paranoica
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françois richard : trabajo de representación y proceso psicótico
En éste artículo se hace la hipótesis que el proceso de subjetivación, en particular a la adolescencia rrecurre a la firmeza de un estilo, que sea de una postura personal o artística. Cuando el sujeto es amenazado por los ataques psicóticos, se les vé intensificar su trabajo de reflexion y de representación, pero se distingue dificilmente el exeso de conciencia melancólica, la angustia psicótica y un tipo de sublimación facinada por el caos pulsional. Una segunda hipótesis es hecha sobre la utilidad de una cierta soledad y de compromiso masoquista con el objeto y la realidad.
Un momento de crisis de forma psicótica en el caso del adolescente que tiene una problemática nevrótica es presentada en la medida en que la búsqueda de singularidad de un estilo frena la descompensación.
En seguida es analizado el teatro del autor dramático S. Kane y se encuentra de manera ejemplar la paradoja de un suicidio que succede a una maestria representacional adquirida.
Al final son discutidas, las proposiciones de Freud sobre la destructividad masoquista y aquellas de D. W. Winnicott sobre el nucleo del verdadero Self como una incomunicación.
François Richard : travail de représentation et processus psychotique
Dans cet article est faite l’hypothèse que le processus de subjectivation, en particulier à l’adolescence, recourt à la fermeté d’un style, qu’il soit de posture personnelle ou artistique, lorsque le sujet est menacé par des attaques psychotiques. On le voit alors intensifier son travail de pensée et de représentation, mais on distingue alors difficilement l’excès de conscience mélancolique, l’angoisse psychotique et un type de sublimation fasciné par le chaos pulsionnel. Une seconde hypothèse est faite concernant, à l’inverse, l’utilité d’une certaine solitude et de compromis masochistes avec l’objet et la réalité.
Un moment de crise d’allure psychotique chez une adolescente relevant d’une problématique névrotique est présenté dans la mesure où la quête de la singularité d’un style y endigue la décompensation.
Le théâtre de l’auteur dramatique S. Kane est ensuite analysé en détail, en effet on y trouve de façon exemplaire le paradoxe d’un suicide succédant à une maîtrise représentationnelle réussie.
Sont enfin discutées les propositions de Freud sur la destructivité masochiste et celles de D. W. Winnicott sur le noyau du vrai Self comme non-communication.
Philippe Gutton : solitude et désolation
Article théorique. La solitude est définie comme un affect qui exprime l’écart, ou la limite, entre les objets externes et les objets internes suffisamment bon pour permettre l’activité créatrice d’un sujet. Cet écart est justement critique à l’adolescence. La désolation est le vide interne de la psyché ne trouvant pas dans l’environnement de traces pour sa créativité ; la désolation serait la base des processus psychotiques de modalités dépressive, hallucinatoire et paranoïaque.