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alberto eiguer : ¿ por que a los adolescentes no les gusta la fiestas de familia ?

A fin de buscar las razones de ese rechazo, el autor examina sucecivamente los límites del concepto de defensa maniaca y las caracteristcas de toda fiesta familiar. – el rito que evoca los orígenes de la familia y los vínculos de pertenecia de sus miembros pero que también se erige contra todo exeso y desbordamiento –, la natura singular de la fiesta en el caso de los adolescentes –, la hiperactividad y la tensión que provoca las sensaciones arcaicas –, precisan lo que ellos encuentran. A los adolescentes no les gusta las fiestas familiares puesto que vehiculan un orden genealógico en el cual se imaginan no tener espacio. Ello sería la razon que explicarí el hecho que no soportan la tonalidad apológica o las certitudes que pretenden poner en evidencia las alegorías míticas que se exprimen. Dicho rechazo está de acuerdo con la pretención de construirse una neo-filiación, lo que les conduce haca otros grupos y otras fiestas (raves partyes) pero ello no és más que el lado visible de otra búsqueda, aquella de una plaza que será la suya en la genealogía.

Alberto Eiguer : why don’t adolescents like family parties?

In order to find out the reasons for this refusal, the author examines the limits of the concept of manic defense, the characteristics of all family parties (a ritual evoking family origins and the belonging of family members, but which also brooks any excess or overflow), the singular nature of adolescent partying (hyperactivity and plugging into archaic sensations), in order to pinpoint what makes them clash. Adolescents don’t like family parties because they are the vehicle for a genealogical order in which they imagine they have no place. This would explain why they can’t stand the apologetic tone of such parties or the certainties supposedly derived from the mythical allegories expressed in them. This rejection is in agreement with their aim to build a neo-filiation for themselves, which leads them towards other groups and other parties (rave parties); but this is only the visible face of another quest, whose object is a place for themselves in the genealogy.

Alberto Eiguer : peut-on parler de perversion à l’adolescence ?

L’auteur envisage l’analyse de cette question en abordant, en premier lieu, deux écueils du clinicien : la difficulté à parler de structure psychique chez l’adolescent étant donné la mobilité de son fonctionnement mental ; l’association de certains aspects de la crise d’adolescence avec une relance de la phase perverse polymorphe infantile. En deuxième lieu, il étudie trois situations cliniques spécifiques : les mouvements défensifs de nature perverse ; les perversions sexuelles et morales qui se manifestent à cet âge ; les liens pervers où un adulte pédophile, incestueux, corrupteur ou pervers-narcissique prend comme objet un adolescent, qui devient sa victime-complice.

Alberto Eiguer : pourquoi les adolescents n’aiment pas les fêtes de famille ?

 

Afin de creuser les raisons de ce refus, l’auteur examine successivement les limites du concept de défense maniaque, les caractéristiques de toute fête de famille – le rite qui évoque les origines de la famille et l’appartenance de ses membres, mais qui se dresse également contre tout excès et débordement –, la nature singulière de la fête, chez les adolescents – hyperactivité et mise en tension des sensations archaïques –, pour préciser ce qui les heurte tout particulièrement. Les adolescents n’aiment pas les fêtes de famille car elles véhiculent un ordre généalogique dans lequel ils imaginent ne pas avoir de place. Ce serait la raison qui explique qu’ils ne supportent pas leur tonalité apologique ou les certitudes que prétendent dégager les allégories mythiques qui s’y expriment. Ce rejet est en accord avec leur prétention de se construire une néo-filiation, ce qui les conduit vers d’autres groupes et d’autres fêtes (rave parties), mais cela n’est que la face visible d’une autre quête, celle d’une place qui serait la leur dans la généalogie.