Archives par mot-clé : Anne Bourgain

anne bourgain : la importancia de la firma a la adolescencia

La firma es un acto complejo que participa a la marca de su desaparición. Entre mimetismo y afirmación de si mismo ella permite de abordar la cuestión de la afiliación del adolescente. Por extencion exploramos otros modos de firma a la adolescencia interrogando la pertinencia de esta designación : estamos en el derecho de preguntarse si aun se trata de una firma. Quién firma a la adolescencia ? En que medida, los diversos medios de expresión que a menudo son practicas de la exclusión vienen a firmar algo del sujeto ? Sobre todo si este trabajo trata de ilustrar la manera en que la fantasía de auto creación, pueden a la vez, favorizar y entrabar el trabajo de subjetivacion y partiendo, permitir o no el paso.

Adolescence, 2008, T. 26, n°4, pp. 1023-1035.

Anne Bourgain : signature issues in adolescence

The signature is a complex act which partakes of the trace and of its erasure. Between mimicry and self-affirmation, it allows one to approach the question of the name in the adolescent. By extension, we will explore other modes of signature in adolescence, investigating the relevance of this designation: one can reasonably wonder if it is still a signature. Who signs in adolescence ? To what degree do the various ways of expression, which are often distancing practices, come to « sign » something of the subject ? Above all, this work tries to illustrate the way in which fantasies of self-foundation can both foster and hinder the work of subjectivation, and so doing, open, or not open, the passage.

Adolescence, 2008, T. 26, n°4, pp. 1023-1035.

Anne Bourgain : enjeux de la signature à l’adolescence

La signature est un acte complexe qui participe de la trace et de son effacement. Entre mimétisme et affirmation de soi, elle permet d’aborder la question du nom chez l’adolescent. Par extension, nous explorons d’autres modes de signature à l’adolescence en interrogeant la pertinence de cette désignation : on est en droit de se demander s’il s’agit encore de signature. Qui signe à l’adolescence ? Dans quelles mesures les divers modes d’expression qui sont souvent des pratiques de l’écart viennent-ils « signer » quelque chose du sujet ? Surtout, ce travail tente d’illustrer la façon dont les fantasmes auto-fondateurs peuvent à la fois favoriser et entraver le travail de subjectivation, et partant, permettre ou non le passage.