Archives par mot-clé : Catherine Giraud

Catherine Giraud, Marie Rose Moro : un grupo para los padres

Ocho anos de práctica con un grupo de palabra para padres de adolescentes con TCA, en la Maison de Solenn, nos permitieron de hacer las siguientes observaciones : contra el riesgo de cortar del sistema familiar la frecuentación del grupo, co-animado por un binomio padre-terapeuta, procura un sentimiento de pertenencia y permite un « regreso a la sociedad ». El efecto de sentirse « contenido » en los movimientos psíquicos acelera la movilización de los recursos familiares y la alianza terapéutica. La importancia de los vínculos de apego que se dan, también permite de considerar el grupo como un lugar de entre ayuda.

Adolescence, 2014, 32, 3, 511-520.

Catherine Giraud, Marie Rose Moro: a group for the parents

Eight years of practice in a support group for parents of adolescents with eating disorders at the Maison de Solenn have led to the following observations: against the risk of being closed up in the family system, taking part in a group, co-conducted by a parent and a caregiver, gives a feeling belonging and enables a “return to society”. The “containing” effect on psychical movements accelerates the mobilization of family resources and the therapeutic alliance. The importance of attachment links that form also enable one to consider the group as a place for mutual aid.

Adolescence, 2014, 32, 3, 511-520.

Catherine Giraud, Marie Rose Moro : un groupe pour les parents

Huit années de pratique d’un groupe de parole pour parents d’adolescentes atteintes de TCA à la Maison de Solenn ont amené les observations suivantes : contre le risque de clôture du système familial, la fréquentation du groupe, co-animé par un binôme parent-soignant, procure un sentiment d’appartenance et permet un « retour en société ». L’effet « contenant » sur les mouvements psychiques accélère la mobilisation des ressources familiales et l’alliance thérapeutique. L’importance des liens d’attachement qui se nouent permet aussi de considérer le groupe comme un lieu d’entraide.

Adolescence, 2014, 32, 3, 511-520.