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MONZANI STEFANO: EL ADOLECENTE, TEATRO EN TRES ESCENAS

La obras teatral de B.-M. Koltes ilustra varios aspectos de la crisis del orden simbólico que caracteriza nuestra modernidad en relación a la escena adolescente. En la obra de este autor, asistiremos a la emergencia del pubertario vivido como un traumatismo mayor por la familia en la cual reina la confusión de generaciones y una afiliación narcisista. Truncado en un impase de desarrollo y sin sostén narcisico de la parte de los padres. El joven Koltésien se ilusiona con la idea de poder fundar una comunidad a-genealógica con otros hermanos y escapar así a una interrogación de la filiación. Pero al exterior de su familia no halla que el odio y la violencia. Al final, el cuerpo a cuerpo social no hace más que reproducir en reflejo la violencia de la escena pubertaria y aquella de la familia incestual.

MONZANI STEFANO : ADOLESCENCE, THEATER IN THREE SCENES

»The theatrical work of B.-M. Koltès illustrates several aspects of the symbolic crisis which characterize our modernity in relation to the adolescent scene. In the work of this author, we witness the development of the pubertaire experienced as a major trauma by the family, ruled mainly by the confusion of generations and by narcissistic filiation. Caught in a developmental impasse and without narcissistic support from the parents, the Koltèsian youth imagines that he can found an a-genealogical community with other « brothers « and thus elude the questioning of filiation. But outside his family he finds only hatred and violence. All in all, the social body to body merely reproduces, like a mirror-image, the violence of the pubertaire scene and that of the incestuous family.»

Monzani Stefano : l’adolescence, théâtre en trois scènes

L’œuvre théâtrale de B.-M. Koltès illustre plusieurs aspects de la crise de l’ordre symbolique, qui caractérise notre modernité en relation à la scène adolescente. Dans l’œuvre de cet auteur, nous assistons à l’essor du pubertaire vécu comme un traumatisme majeur par la famille, régie notamment par la confusion des générations et par la filiation narcissique. Pris dans une impasse développementale et sans soutien narcissique de la part des parents, le jeune koltésien s’illusionne de pouvoir fonder une communauté a-généalogique avec d’autres “ frères ”, et échapper par là au questionnement de la filiation. Mais à l’extérieur de sa famille il ne trouve que la haine et la violence. Au total, le corps à corps social ne fait que reproduire, en miroir, la violence de la scène pubertaire et celle de la famille incestueuse.