An episode in the life of S. Freud, i.e. the engagement of his daughter Sophie with Max exmplify how counter-transference affects about identity come in contact with the working through surging in the adult when their children discover and show off a liable genital sexuality, thus experiencing love feelings and emotions.
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Dominique J. Arnoux : le sentiment de nullité
Le récit de trois consultations à propos d’un adolescent arrogant se vivant comme nul me permet de penser le processus psychanalytique de la cure et de ses enjeux. La place est donnée au travail de pensée du psychanalyste à partir des états émotionnels du sujet émergeant dans la cure, mais aussi de ses parents en consultations du début. Il y a violence du fait d’un jugement d’attribution venu des objets parentaux au plus jeune âge et que l’adolescent reprend à son compte sans le savoir. La misère d’objet à l’adolescence trouve ici une définition ainsi qu’une réflexion sur le sentiment de nullité si fréquent à cet âge.
Dominique J. Arnoux : Les heurs de sophie
Un épisode de la vie de S. Freud, les fiançailles de sa fille Sophie avec Max, exemplifie la convocation des affects contre-transférentiels concernant l’identité et la perlaboration qui s’ensuit chez l’adulte quand les enfants acquièrent et affichent une possible sexualité génitale et éprouvent des sentiments amoureux.
Adolescence, 1999, T. 17 n°2, pp. 249-254.